AQWAL ( E )
aqwalf
aqwalf
01
Dans l'attente de l'union sous un toit,
pendant la journée , je languis de toi.
La nuit , je te souhaite proche de moi,
sans être vu des tiens faux bourgeois
02
Pour être plus proche de la jonquille,
Il a admis d'être l'enfermé qu'elle lie
à ses ordres, le fou bel esclave obéit
car, l'Amour, qui l'a soumis l'a anobli
03
L'Amour, qui monte est la noble tâche.
Celle du liseron est l'habille, qui cache
sachant qu'il meurt là, où, il s'attache,
il grimpe, pour qu'aucune ne l'arrache.
04
Muet se retrouvera le méchant bavard,
Ne pouvant "" s'approprier "" le nénuphar.
L'étang est moins limpide que le 'boulevard',
où les Don Juan ont rué entre les brancard...
05
La shariaa condamnera *l'erreur* qu'on commet
avec une mineure dont la pudeur attire le flatteur
qui se couvre de ce déshonneur.
06
Mets ton 'âme' dans le noir de tes yeux.
Résignée, tu peux lever ton front pieux,
Grâce aux prosternations, louant 'Dieu'
Qui ne satisfait que les servis miséreux
07
Dans l'univers, chacun cherche et désire
la richesse, un nom, le 'son' d'un sourire,
la goutte d'eau, qui avait irrigué le martyr,
de celui, qui cessa d'expirer les soupirs. ...
08
Il ne faut rien haïr l'être humain doit aimer
Aux ' Lois ' divines il faudra s'y conformer
qui s'y consentit, ne se " trompera " jamais.
Sans leurre, on est ici-bas la 'mieux' armée
09
Dans les pâturages et branchages,
les soupirs sont de gais rabâchages,
Quand, on cessera d'utiliser les cages,
nous deviendrons des 'humains' sages.
10
Vous avez la " splendeur " des *roses* .
En vos yeux, on y lisait tant de choses,
dont, la 'lente larme' des bonnes causes
et la patience que 'l'amitié' vous propose
12
Avec un peu, le fellah rend grâce à Dieu,
'Poète', dans sa bicoque, il est l'heureux,
Qui a remercié souvent son * bon* Dieu
lorsque de son ciel souvent bleu, il pleut
13
Pour oublier la journée et ses peines,
le 'soir' le pauvre sort et se promène.
La vie de son mini pré qui l'enchaîne
fera de son lopin de terre un domaine
14
Comme, un fou au volant de sa voiture,
il tentait de rejoindre Zouzou, sa parure
qu'une grave maladie chronique torture
La foule présente était mauvaise augure
15
A chacun son tour, ainsi est faite la vie,
qui nuit l'ennemi qu'on croyait bon ami.
Sans émettre le bruit qu'il a produit,
ne te réjouis-toi pas de ses ennuis .
16
En aimant et craignant 'Allah', l'Absolu,
Il a aimé cet infirmière, pour sa retenue
qui se sentait libre en sa ' sainte' tenue,
qui l'a éloignée des mœurs dissolues.
17
L'almanach était le calendrier magnifique,
qui rappelait aux jeunes filles, la Pratique'
quand les femmes étaient des apolitiques
a politique est un tour, qui rend fanatique
18
Je t'en prie, 'calme-toi', sèche tes yeux.
Réjouis-toi, je suis le battant heureux,
Face à ceux, qui tressaient des nœuds.
Pour trembler, vivre et mourir en eux.
19
Ta *langue* s'est déliée, ainsi que ton esprit
Hurle, chante à tue tête, enseigne, vit et prie
avec les 'citoyennes' qui ont embelli le pays,
où, aux libérées, * autonomes *, tu t'es unie.
20
N'incorpore à *ton peuple* des idées immondes
qui t'excluront du rassemblement, qui frondent.
Avec plus de 'clarté', tu pourras saisir le monde,
comme t'ont influencé les belles blondes. ... ...
21
Le mot, c'est le Verbe et le Verbe, c'est Dieu
Qui est esprit, pensée, vie, don, vertu et feu.
A toi, d'accepter tout ce que ton corps peut,
car, Allah, notre Décideur fait ce qu'Il veut.
22
Le mot : «OUI», qui engage, est responsable,
D'une dette, envers laquelle, on est redevable.
De leurs lèvres leurs *avis* étaient agréables
De leurs *promesses* tu as reçu l'impalpable.
23
Tourmenteurs, crétins, soyez maudits,
Car, vous êtes des "envieux"engourdis,
Qui prêchent avec des*mots* interdits,
transformant l'Enfer en doux Paradis....
24
Le souhait à leurs filles est valable aux brus.
Généralement, c'est par la ruade imprévue,
que le 'paysan' comprend l'âne et son refus
Pour lui c'est par l'âne que l'âne sera revendu
25
Le paysan qui était reconnu autonome
se comptait, parmi les 'réels' économes
qui ont rénové leurs*logis* en chaume.
en habitats, que 'méritent' les hommes.
26
Les ex-commères viendront t'espionner
afin de pouvoir ' te ' tirer les vers du nez.
A ta belle-mère, répètent leurs données,
pour qu'elles 'cessent' de t'empoisonner
27
Dérobées ont toujours été les jolies brus
Par la belle-mère Fahima sera l'inconnue
qui passait son temps, dans les avenues
où, des enthousiastes l'auraient connue.
28
Fais connaître à l'associer ce qui est rude
que tu as ressenti, lors, ta première étude
Il faut lui *communiquer*tes inquiétudes
tout en vantant ce qui sera belle habitude
29
De ce, qui lui reste, l'émigré, fort satisfait
n'a pas cru avoir obtenu 'l'enchantée' fée
Sans arrosage, la rose n'a pas 'triomphé'
en lui offrant sa belle chevelure décoiffée
3O
La femme qui utilisera son charme
ne versera jamais la " lente" larme.
*Celle, qui saura créer des drames,
ressemblera à l'ânesse, qui brame.
31
Elle servira et fera ce qu'elle avait pu.
Quand, heureuse son âme avait vécu.
Dans son cœur mort, elle fut vaincue
Quand son compagnon avait disparu
32
L'estime est souvent rendue par l'orphelin
Contraire sera le produit du fils du 'Malin'
qui en 'grandissant', recherchera les siens,
c'est-à-dire son ' père ' qui ne possède rien.
33
Digne a été celle, qui a élevé le 'pupille'
En son voisinage, son **auréole** brille
pour l'Amour faisant d'elle, un habille,
car, 'l'Amour d'Allah' a été son habille.
34
Fille du pauvre reconnaît que Dieu est Un
Que l'on soit : blond, noir, jaune ou 'brun'
l'odeur du corps est son 'meilleur' parfum
Utilise l'eau du *ciel * notre bien commun
35
Ne 'médis' pas celui, qui t'a mal jugée.
Ta vaillante confrontation l'a enragé
Ta bravoure a fait de lui, ' ton' obligé,
qu'il faut ménager afin de te corriger
36
Plains-les et entretient 'ton' courage.
L'arc en ciel se montre après l'orage,
Tu es le frêne, au croissant feuillage
A son ombre ils ont obtenu l'ombrage 37
Si, mes "poèmes" avaient des ailes,
chaque matin ils iraient chez elles
pour lui dire que le timide sans zèle
ne craint qu'un de tes niets mortels.
ROBA-IYATE
01
Dans l'attente de l'union sous un toit,
pendant la journée , je languis de toi.
La nuit , je te souhaite proche de moi,
sans être vu des tiens faux bourgeois
02
Pour être plus proche de la jonquille,
Il a admis d'être l'enfermé, qu'elle lie
à ses ordres, le fou bel esclave obéit
car, l'Amour, qui l'a soumis l'a anobli
03
L'Amour, qui monte est la noble tâche.
Celle du liseron est l'habille, qui cache
sachant, qu'il meurt, là, où, il s'attache,
il grimpe, pour qu'aucune ne l'arrache.
04
Muet se retrouvera le méchant bavard,
Ne pouvant "" s'approprier "" le nénuphar.
L'étang est moins limpide que le 'boulevard',
où, les Don Juan ont rué entre les brancards
05
La shariaa condamnera *l'erreur* qu'on commet
avec une mineure dont la pudeur attire le flatteur
qui se couvre de ce déshonneur.
06
Mets ton 'âme' dans le noir de tes yeux.
Résignée, tu peux lever ton front pieux,
Grâce aux prosternations, louant 'Dieu'
Qui ne satisfait que les servis miséreux
07
Dans l'univers, chacun cherche et désire
la richesse, un nom, le 'son' d'un sourire,
la goutte d'eau, qui avait irrigué le martyr,
de celui, qui cessa d'expirer les soupirs. ...
08
Il ne faut rien haïr l'être humain doit aimer
Aux ' Lois ' divines il faudra s'y conformer
qui s'y consentit, ne se " trompera " jamais.
Sans leurre, on est ici-bas la 'mieux' armée
09
Dans les pâturages et branchages,
les soupirs sont de gais rabâchages,
Quand, on cessera d'utiliser les cages,
nous deviendrons des 'humains' sages.
10
Vous avez la " splendeur " des *roses* .
En vos yeux, on y lisait tant de choses,
dont, la 'lente larme' des bonnes causes
et la patience que 'l'amitié' vous propose
12
Avec un peu, le fellah rend grâce à Dieu,
'Poète', dans sa bicoque, il est l'heureux,
Qui a remercié souvent son * bon* Dieu
lorsque de son ciel souvent bleu, il pleut
13
Pour oublier la journée et ses peines,
le 'soir' le pauvre sort et se promène.
La vie de son mini pré qui l'enchaîne
fera de son lopin de terre un domaine
14
Comme, un fou au volant de sa voiture,
il tentait de rejoindre Zouzou, sa parure
qu'une grave maladie chronique torture
La foule présente était mauvaise augure
15
A chacun son tour, ainsi est faite la vie,
qui nuit l'ennemi qu'on croyait bon ami.
Sans émettre le bruit qu'il a produit,
ne te réjouis-toi pas de ses ennuis .
16
En aimant et craignant 'Allah', l'Absolu,
Il a aimé cet infirmière, pour sa retenue
qui se sentait libre en sa ' sainte' tenue,
qui l'a éloignée des mœurs dissolues.
17
L'almanach était le calendrier magnifique,
qui rappelait aux jeunes filles, la Pratique'
quand les femmes étaient des apolitiques
a politique est un tour, qui rend fanatique
18
Je t'en prie, 'calme-toi', sèche tes yeux.
Réjouis-toi, je suis le battant heureux,
Face à ceux, qui tressaient des nœuds.
Pour trembler, vivre et mourir en eux.
19
Ta *langue* s'est déliée, ainsi que ton esprit
Hurle, chante à tue tête, enseigne, vit et prie
avec les 'citoyennes' qui ont embelli le pays,
où, aux libérées, * autonomes *, tu t'es unie.
20
N'incorpore à *ton peuple* des idées immondes
qui t'excluront du rassemblement, qui frondent.
Avec plus de 'clarté', tu pourras saisir le monde,
comme t'ont influencé les belles blondes. ... ...
21
Le mot, c'est le Verbe et le Verbe, c'est Dieu
Qui est esprit, pensée, vie, don, vertu et feu.
A toi, d'accepter tout ce que ton corps peut,
car, Allah, notre Décideur fait ce qu'Il veut.
22
Le mot : «OUI», qui engage, est responsable,
D'une dette, envers laquelle, on est redevable.
De leurs lèvres leurs *avis* étaient agréables
De leurs *promesses* tu as reçu l'impalpable.
23
Tourmenteurs, crétins, soyez maudits,
Car, vous êtes des "envieux"engourdis,
Qui prêchent avec des*mots* interdits,
transformant l'Enfer en doux Paradis....
24
Le souhait à leurs filles est valable aux brus.
Généralement, c'est par la ruade imprévue,
que le 'paysan' comprend l'âne et son refus
Pour lui c'est par l'âne que l'âne sera revendu
25
Le paysan qui était reconnu autonome
se comptait, parmi les 'réels' économes
qui ont rénové leurs*logis* en chaume.
en habitats, que 'méritent' les hommes.
26
Les ex-commères viendront t'espionner
afin de pouvoir ' te ' tirer les vers du nez.
A ta belle-mère, répètent leurs données,
pour qu'elles 'cessent' de t'empoisonner
27
Dérobées ont toujours été les jolies brus
Par la belle-mère Fahima sera l'inconnue
qui passait son temps, dans les avenues
où, des enthousiastes l'auraient connue.
28
Fais connaître à l'associer ce qui est rude
que tu as ressenti, lors, ta première étude
Il faut lui *communiquer*tes inquiétudes
tout en vantant ce qui sera belle habitude
29
De ce, qui lui reste, l'émigré, fort satisfait
n'a pas cru avoir obtenu 'l'enchantée' fée
Sans arrosage, la rose n'a pas 'triomphé'
en lui offrant sa belle chevelure décoiffée
3O
La femme qui utilisera son charme
ne versera jamais la " lente" larme.
*Celle, qui saura créer des drames,
ressemblera à l'ânesse, qui brame.
31
Elle servira et fera ce qu'elle avait pu.
Quand, heureuse son âme avait vécu.
Dans son cœur mort, elle fut vaincue
Quand son compagnon avait disparu
32
L'estime est souvent rendue par l'orphelin
Contraire sera le produit du fils du 'Malin'
qui en 'grandissant', recherchera les siens,
c'est-à-dire son ' père ' qui ne possède rien.
33
Digne a été celle, qui a élevé le 'pupille'
En son voisinage, son **auréole** brille
pour l'Amour faisant d'elle, un habille,
car, 'l'Amour d'Allah' a été son habille.
34
Fille du pauvre reconnaît que Dieu est Un
Que l'on soit : blond, noir, jaune ou 'brun'
l'odeur du corps est son 'meilleur' parfum
Utilise l'eau du *ciel * notre bien commun
35
Ne 'médis' pas celui, qui t'a mal jugée.
Ta vaillante confrontation l'a enragé
Ta bravoure a fait de lui, ' ton' obligé,
qu'il faut ménager afin de te corriger
36
Plains-les et entretient 'ton' courage.
L'arc en ciel se montre après l'orage,
Tu es le frêne, au croissant feuillage
A son ombre ils ont obtenu l'ombrage 37
Si, mes "poèmes" avaient des ailes,
chaque matin ils iraient chez elles
pour lui dire que le timide sans zèle
ne craint qu'un de tes niets mortels.